On vous avait fait part de film qu’on pouvait se passer de voir, on continue avec deux autres films à ne pas spécialement voir. Une erreur de choix manifestement. Des films vu dans un avion, sans réfléchir.
Une année difficile
Deux personnes dans les affres du surendettement se retrouvent compagnon de route et surtout de galère, une année difficile. Dans cette galère, ils rencontrent des activistes dénonçant la surconsommation. Sans rien décider car de toute manière ces deux personnages ne décident de rien, ils vont suivre et participer à des actions d’enchaînement aux bâtiments publics, des blocus et autres happenings activistes.
Avec Pio Marmaï et Jonathan Cohen, difficile que cela ne soit pas une comédie. En fait, ce n’est pas une comédie. C’est peut-être une comédie dramatique comme on dit, une comédie sociétale. Drame léger (ou pas) de société car les thèmes sont sérieux.
Même si cela est bien joué, le duo est efficace, le film n’a pas vraiment d’histoire. Les deux dossiers de surendettement ne suffisent pas à remplir un film et les actions activistes passent au mieux comme un documentaire déjà connu sur des sujets graves et sérieux. Jonathan Cohen toujours dans le même rôle, celui du mec qui ne veut pas comprendre.
Une fin en plein covid, c’est peut-être cela la seule surprise de ce film.
FAST X
32 minutes et j’ai lâché l’affaire. Un film puéril pour ne pas dire débile avec des personnages à la maturité d’enfants de 9 ans. Des grosses bagnoles et des bourrins du tuning. C’est bien sûr le thème du film qui en est à son dixième chapitre de la série Fast & Furious. Désormais cela n’intéresse plus que les passionnés qui ont vu les neufs premiers.
Désolé j’ai eu beau faire du yoga et être zen mais je ne suis pas allé au-delà. Une punition pour moi. Des dialogues pathétiques. La seule chose qui a certainement demandé une compétence, ce sont les effets spéciaux, au rendez-vous.
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